La Forêt-Noire est l'un de ces endroits qui inspirent dès le premier contact. Qu'il s'agisse de ses lacs cachés, de ses chutes d'eau sans fin ou de ses montagnes – ou même de ses divers paysages si proches les uns des autres et pourtant si différents.

La dernière fois que j'y étais, nous sommes arrivés tôt le matin dans le brouillard le plus épais, au Schliffkopf. Poussé par une envie irrésistible de prendre des photos, nous avons traversé les prés verdoyants pour prendre des photos qui représentent ce lieu et son atmosphère de la manière la plus authentique. Bien que nous n'ayons pas pu assister au lever de soleil, nous avons pris des clichés très représentatifs et sommes allés là : un petit lac caché dans une vallée, vers lequel nous devions marcher. Grâce au brouillard, le chemin était déjà unique, ce qui nous faisait nous arrêter encore et encore afin de saisir de nouvelles perspectives, comme une petite hutte nichée sur un promontoire. Ensuite, nous nous sommes rendus à une chute d’eau qui, avec les feuilles de l'automne, nous a fourni de superbes compositions ! La journée s'est conclue par un magnifique coucher de soleil sur le Hornisgrinde avec le sentiment d'avoir vécu ce jour-là un moment unique.